L’anxiété est devenue de plus en plus précoce. Nombre d’enfants connaissent ce symptôme que l’on repère le plus souvent tardivement. Il s’exprime de façon différente selon les personnalités, mais le point plus statistiquement répandu est un échec dans le domaine scolaire mais également sur le plan social. Les parents se montrent fréquemment désarmés pour identifier cette anxiété qui dans des biens des cas est transférée sur leur progéniture. Ils renvoient par facilité mais surtout par autodéfense, la responsabilité sur l’école, qui a son tour se montre incapable par manque de formation suffisante des enseignants d’apporter les réponses à l’enfant en souffrance. De plus, ce symptôme est susceptible d’enclencher des attitudes violentes tant dans les cours de récréation que dans la sphère familiale. Les parents considérant le comportement de leur enfant comme un manque d’éducation, surenchérissent par des actes encore plus violents. Ainsi celle-ci ne connait plus de limites et finit par engendrer une environnement familial chaotique qui insécurise l’ensemble de ses composantes. Parents et enseignants se rejettent mutuellement la responsabilité au point que l’absentéisme volontaire de l’enfant o๠provoqué à la suite d’un renvoie, finisse par devenir la solution de repli venant apaiser une anxiété dont l’école en est devenue la cause apparente.
Quelles solutions pour des enfants dont les parents se montrent incapables d’apporter la bonne réplique ? Parents et enfants doivent se retrouver pour fonder une relation nouvelle les engageant simultanément et ensemble dans une action conjointe. Cela transite par un changement de langage mais pas seulement, une correction de certaines distorsions de pensées, mais pas seulement, une modification de certaines attitudes, mais surtout une volonté partagée d’un changement de la part des deux parties : parents et enfants réunis pour la même cause.
L’anxiété chez l’enfant comme source d’échec scolaire.
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