Sur une échelle de 1 à 10, je dirai que ma façon d’aimer la vie se situe à son point culminant : 10. Malgré les traverses de ses situations, ses épreuves. Mais aussi pour ses joies, les possibilités qu’elle nous donne de nous réaliser, de montrer que nous comptons pour nous même et pour d’autres.
La vie c’est aussi notre premier amour, elle est l’environnement spatio-temporel que nous habitons et qui nous habite que nous épousons et qui nous épouse sans notre consentement et apprenons et dés les premiers instants de notre connexion avec elle à apprécier sa configuration, ses aspects protéiformes, ses couleurs à l’image d’un arc en ciel, ainsi que ceux qui l’habitent parce qu’ils nous ont précédé.
Si on devait en décrire la saveur à ceux qui voudraient tenter de la croquer, nous dirions qu’elle est aigre-douce.