Une pensée inclinée en direction de ces orphelins de l’affection.
Si je devais ériger un sapin de la contemplation, j’y suspendrai quelques méditations depuis leurs teintes les plus décolorées, douceâtres, sépulcrales, caverneuses, jusqu’aux plus vives, aux plus étincelantes, aux plus éblouissantes en passant par un incolore. Pourquoi ? Car l’existence semble insipide, si nous ne l’ornons pas d’un spectre chromatique…. Lire la suite