Le ressentiment biologiquement parlant
Selon certains évolutionnistes, les émotions ont évolué de sorte à répondre à des programmes adaptatifs dont les mécanismes biologiques auront en charge le traitement de l’information. Lire la suite
Selon certains évolutionnistes, les émotions ont évolué de sorte à répondre à des programmes adaptatifs dont les mécanismes biologiques auront en charge le traitement de l’information. Lire la suite
L’apparition du trouble de la personnalité limite (TPL) ou trouble borderline, sur le registre comportemental est selon un certain nombre d’études la résultante d’une combinaison de facteurs génétiques à des facteurs environnementaux. Plus précisément, il s’agit d’un croisement entre les vulnérabilités biologiques et le vécu d’une ou de plusieurs expériences… Lire la suite
« Un cerveau bien soigné ne se fatigue jamais » Jules Renard Le cerveau humain, connote toute une mécanique complexe. La caractéristique, la plus extraordinaire mais surtout celle qui favorise la survie de l’espèce, c’est la neuroplasticité. Dit autrement, discourir sur le cerveau, est sans équivoque, pointer sur sa neuroplasticité. En effet, elle traduit une… Lire la suite
L’Atarax, un anxiolytique connu qui ne doit pas tout à fait son nom au laboratoire qui le produit. Il renvoie au vocable d’ataraxie (apparue d’abord chez le philosophe grec Démocrite), c’est-à-dire l’absence de troubles, à la tranquillité de l’âme (psyché). Cette dernière, disait Épicure est troublée par l’angoisse, elle même, suscitée par la crainte des dieux et de la… Lire la suite
Nos ancrages, nos inhibitions, nos ankyloses comportementales, neuronales, s’enracinent dans notre histoire personnelle. Celle-ci se construit à partir de nos expériences de vies en interactions avec un panel d’acteurs environnementaux, tels que nos parents, nos amis, nos éducateurs, nos guides, nos soignants, nos politiques, nos représentants religieux… Certains d’entre eux se… Lire la suite
Si je devais ériger un sapin de la contemplation, j’y suspendrai quelques méditations depuis leurs teintes les plus décolorées, douceâtres, sépulcrales, caverneuses, jusqu’aux plus vives, aux plus étincelantes, aux plus éblouissantes en passant par un incolore. Pourquoi ? Car l’existence semble insipide, si nous ne l’ornons pas d’un spectre chromatique…. Lire la suite